Nue et en laisse dans le magasin !

Nue et en laisse dans le magasin !Bonjour à tous ! Tout d'abord, merci pour l'accueil que vous avez fait à ma première histoire, "Dans le lit de ses parents et de sa petite soeur !", ça m'a donné envie de vous raconter la suite. L'histoire qui va suivre s'est également réellement passée, en grande partie du moins. J'ai rajouté quelques éléments fictifs pour le récit, mais 70-80% de cette histoire est vraie. Si cela vous dérange, je m'en tiendrai à un récit entièrement authentique pour ma prochaine histoire. C'est à vous de décider !Après ce qui c'était passé dans la maison de ses parents, j'avais découvert un aspect vraiment intéressant de Caroline. Apparemment, le faire dans des lieux insolites ou tabou la menait presque systématiquement à l'orgasme, et ce sans réel effort de ma part. Bien entendu, mon cerveau bourdonnait d'idées salaces que je n'avais encore jamais exprimées avec mes précédentes petites-amies. Le faire dans un parc en pleine journée... dans un cinéma... Je l'avoue, lorsque j'avais commencé à sortir avec Caroline, avec son visage d'ange, je mettais imaginé une fille plutôt sage niveau sexe, que j'aurais à décoincer progressivement. Pas une fille qui mettrait ma queue dans sa bouche deux jours plus tard et qui serait excitée en faisant des galipettes dans toute la maison de ses parents, incluant les lits de tous les occupants.Bref. Revenons donc à cette histoire. Environs une semaine après notre aventure chez ses parents, mon anniversaire était arrivé. Caroline m'avait alors réveillé par une fellation dans le lit (royal !) suivi d'une proposition très alléchante :"Aujourd'hui, je ferai ce que tu veux, m'a-t-elle dit avec un petit sourire coquin- Absolument tout ?- Absolument tout- Y compris...- Oui, y compris ça."Cela faisait un moment que je voulais essayer la sodomie avec elle, et jusque là elle avait toujours refusé. Enfin, sauf la fois où on était en train de baiser sur le lit de ses parents. Excitée comme elle était, elle n'avait rien dit lorsque j'avais posé ma bite à l'entrée de son cul. Finalement, c'est moi qui avait renoncé car sans préparation, cela n'aurait été qu'une mauvaise expérience, pour elle comme pour moi. J'en profitais donc pour lui demander :"Tu t'es préparée pour ça ?- Oui, m'a-t-elle dit en rougissant légèrement, je me suis renseignée sur Internet et j'ai fait le nécessaire" Elle semblait gênée, aussi ne lui ai-je pas demandé plus de détails. Autant lui faire confiance, c'était son corps après tout. Et je ne doutais pas qu'elle ne soit renseignée à fond sur le sujet."Alors, par quoi veux-tu commencer ? a-t-elle dit (elle avait l'air impatiente)- Hum... (une idée venait de me traverser l'esprit) j'aimerai bien qu'on aille enfin acheter notre canapé en fait. Tu sais, ça fait un moment qu'on en parle. Puisqu'on a la journée de libre tous les deux, autant en profiter pour choisir ensemble. On fera nos galipettes en en rentrant, d'accord ?"Elle m'a regardé, clairement surprise. Jamais encore je n'ai refusé que l'on baise ensemble au profit d'une autre activité. Son air déçu était tellement mignon que j'ai eu envie de lui révéler mes véritables intentions, mais je me suis retenu. La surprise aurait d'autant plus d'effet. Après une douche relativement longue (malgré mon envie de la frustrer encore un peu, je n'ai pu résister à l'envie de lui faire un long cunni. Eh oui, que voulez-vous, je suis faible), nous nous sommes mis en route en direction d'Ikéa. Pas l'Ikéa le plus proche non, mais celui qui se trouvait à 80km de chez nous. Je voulais minimiser les risques de croiser quelqu'un de notre connaissance.En chemin, je me suis arrêté devant un magasin d'accessoires pour animaux. Je lui ai dit de m'attendre dans la voiture, et je suis ressorti peu de temps après, mes achats camouflés dans mon sac à dos. On a repris la route et nous sommes arrivés devant le magasin suédois. Les choses sérieuses allaient enfin commencer. Pendant ce temps-là, Caroline faisait la tête. Elle essayait de le camoufler du mieux qu'elle pouvait (j'imagine que le jour de mon anniversaire, elle voulait vraiment me faire plaisir et ce peu importe la bursa escort façon), mais c'était flagrant. De toute évidence, elle avait envisagé la journée de manière différente. J'ai laissé échappé un petit sourire.Comme nous étions arrivé relativement tôt (le magasin n'avait pas ouvert depuis bien longtemps), il ne semblait pas y avoir grand monde dans les allées. Parfait. Je me suis dirigé vers le coin où ils reproduisent des pièces entières, des chambres, des cuisines. Je me suis arrêté dans une des pseudo-chambres, dans le style chambre parentale (grand lit, bureau avec chaise, dressing, ...) me suis tourné vers Caroline et je lui ai dit :"Enlève ta culotte et donne-la moi."Elle a écarquillé les yeux, surprise. Mais elle s'est exécutée, commençant enfin à comprendre pourquoi on avait fait tant de route. Elle portait une petite jupe plissée blanche avec un tee-shirt moulant noir, aussi elle n'a eu aucune difficulté à l'enlever. Sa main tremblait d'excitation lorsqu'elle me l'a tendue. J'ai regardé autour de moi et j'ai vu une de ces grandes étagères sur un mur du magasin. A côté, une échelle coulissant sur rail permettait d'accéder aux étagères supérieures. J'ai pris l'échelle et j'ai posé sa culotte (noire, en dentelle, humm... magnifique) bien en évidence sur une commode de la 2e étagère. Toute personne qui ferait un peu attention pouvait la voir."Tu iras la récupérer quand je te le dirai, lui ai-je dit"Bien entendu, au moment où elle irait le faire, elle ne manquera pas d'exposer à n'importe qui passant par là son cul et sa chatte, qui seront bien visible depuis sa hauteur. Cette idée m'excitait déjà. Je l'ai entraînée dans la pseudo chambre, qui n'avait que trois murs pour nous protéger d'éventuels passants. J'ai déboutonné mon pantalon, descendu ma braguette et sorti ma bite. Caroline n'a pas eu besoin que je lui donne un ordre, elle s'est mise à genou et a commencé à me faire une pipe bien baveuse, sans se soucier un seul instant du bruit. Des filets de bave allaient de mon sexe vers sa bouche, en tombant sur son tee-shirt noir, laissant des taches caractéristiques. Ça a continué 5 bonnes minutes, pendant lesquels elle s'est amusée avec mon sexe, le léchant de haut en bas, passant sa langue sur mes testicules, suçotant mon gland. Finalement, douée comme elle était et étant donné la situation et le lieu, je n'ai pas pu me retenir plus longtemps. J'ai sorti mon sexe de sa bouche et j'ai lâché de longs jets de sperme sur son tee-shirt. "Oh non, ai-je dit en faisant semblant de prendre un air désolé, j'ai tâché ton haut... enlève-le, je vais arranger ça."Elle a franchement hésité, cette fois. Cela faisait déjà quelques minutes que nous faisions notre petite affaire, sans que nous ne soyons dérangé. La chance nous souriait, mais rien ne garantissait que ça continuerait ainsi. Quelqu'un pouvait débarquer à tout moment. Un client ou, pire, un vigile qui nous aurait surpris via une caméra. Mais, comme toujours, elle a fini par craquer. Voir cette fille en jupe et seins nus (elle n'avait pas mis de soutien-gorge) à mes pieds, avec un mélange de sperme et de bave dégoulinant de sa bouche sur sa poitrine, le tout dans un lieu public comme Ikéa, je vous avoue que j'ai senti à nouveau un début d'érection. J'ai donc sorti mes achats de la boutique pour animaux, un collier et une laisse en cuir. Elle n'a rien dit en les voyant, mais je voyais bien que quelque chose coulait depuis son entrejambe jusqu'à ses cuisses. Elle était terriblement excitée, elle aussi. Je suis ai mis le collier et ai installé la laisse. Elle était prête pour une promenade.J'ai pris son tee-shirt et j'ai entrepris de l'essuyer sur le fauteuil à roulette qui se trouvait dans la pseudo-chambre. J'ai enlevé le plus gros, qui a tâché le fauteuil mais au final je n'ai fait qu'étaler le reste sur son tee-shirt. Bon, tant pis. Je l'ai rangé dans mon sac, et j'ai tiré sur la laisse pour qu'on sorte de la chambre. Elle a résisté, en protestant :"Non, on va me voir !- Il n'y a personne, j'ai vérifié. Il est trop tôt, le magasin est presque vide.- Oui, ... quelqu'un peut venir à tout görükle escort moment !- Et alors ? Personne ne nous connait. Au pire on se fera virer du magasin. Dois-je te rappeler ta promesse de ce matin ?"Elle a fini par céder, et nous sommes engagé dans l'allée. Je lui ai dit de se mettre à quatre pattes : une chienne en laisse n'est pas bipède, que je sache. Elle s'est exécutée, offrant une vue incroyable à quiconque arriverait derrière nous. Bien entendu, j'avais conscience de jouer avec le feu. Aussi nous nous sommes arrêté au secteur suivant, celui des canapés. Ça tombait plutôt bien, c'est ce qu'on était venu voir. Je me suis installé dans un canapé en tissu qui était situé face au mur. Comparé à la pseudo-chambre, c'était bien peu de protection mais c'était mieux que rien. J'ai ordonné à Caro d'enlever sa jupe, son dernier vêtement. Cette fois, elle était complètement nue, mis à part le collier et la laisse. Je lui ai dit de s?asseoir sur le canapé, et j'ai entrepris de lui faire un cunnilingus. Elle mouillait encore plus que la fois où j'avais joué avec sa chatte sur le lit de sa petite soeur, en utilisant le vibro de cette dernière. Encore plus que la fois où je l'avais prise en levrette sur le lit de ses parents. J'ai continué de la lécher tout en lui mettant des doigts, et elle n'a pas pu retenir des gémissements qui, sans la petite musique d'ambiance du magasin, aurait surement paru assourdissant.Finalement, elle m'a regardé et m'a supplié de la pénétrer là, tout de suite. On ne refuse pas une telle demande, surtout de la part d'une fille aussi canon, nue et tenue en laisse. J'ai commencé mes va-et-vient, tout en regardant autour si nos ébats n'avaient pas attirés l'attention. Pour être tout à fait honnête, je n'avais pas pensé une seule seconde que nous puissions aller si loin sans se faire remarquer et gentiment mis à la porte. Dans l'hypothèse où, bien sûr, ce n'était pas la gendarmerie qui nous mettrait à la porte puis en garde-à-vue. Mais non, rien. J'ai continué, et j'ai fini par la prendre en levrette sur le canapé, lequel avait déjà quelques tâches de cyprine, de liquide pré-séminal et de sueurs. On a continué un petit moment et j'ai failli jouir, jusqu'à ce que je me rappelle mon idée de départ. Je me suis retiré (juste à temps !), et je lui ai dit :"Viens ! On retourne dans le coin des chambres, j'ai une idée"J'ai de nouveau tiré sur la laisse, et je l'ai ramené dans le secteur des chambres (elle s'est déplacé spontanément à quatre pattes, cette fois. Elle apprenait vite). On s'est arrêté au pif dans une chambre pour pré-ado, qui avait pour avantage d'être bien cachée : il fallait d'abord passer par une espèce de salon pour y arriver. Depuis l'allée, la chambre n'était visible que depuis une position bien précise. J'ai fouillé dans mon sac et j'ai sorti un tube de lubrifiant, que j'avais pris soin d'emporter. Caroline a eu un petit sourire en le voyant. Elle savait très bien où je voulais en venir. Bon sang, qu'est-ce que cette fille était parfaite ! J'ai ouvert le tube et elle s'est mise à quatre pattes sur la couette couverte de personnages d'un dessin animé. J'ai lubrifié son anus en jouant (elle a tressailli légèrement, le lubrifiant devait être froid), et j'ai fait de même avec ma bite. Comme la dernière fois, j'ai mis ma bite à l'entrée de son cul, et j'ai attendu qu'elle acquiesce. Ce qu'elle a fait sans tarder, bien sûr. J'ai pénétré en elle, lentement. Je pouvais la voir grimacer, pas habituée à cette sensation. J'ai continué, encore plus lentement, et j'ai commencé à faire des allers-retours, tout doucement d'abord. Ses grimaces se sont muées en gémissements. Elle adorait ça, la coquine. J'étais en train de l'enculer dans un lit d'un magasin Ikéa !Encore une fois, la situation était tellement excitante que je n'ai pas pu me retenir aussi longtemps que je l'aurai voulu. Moins d'une dizaine de minutes après avoir accéléré les va-et-vient, je me suis senti venir et j'ai lâché encore une fois de longs jets de sperme dans son cul, au plus profond d'elle. Je me suis retiré et du sperme est tombé directement de son cul bursa escort bayan sur la couette. Décidément. On allait pas avoir le temps de nettoyer ni de changer la couette, cette fois. C'est alors qu'on a entendu un toussotement discret derrière nous. Un mec, d'environs notre age (25 ans) se tenait sur le passage entre le salon et la pseudo-chambre avec dans la main son téléphone, pointé sur nous. Ce salopard était en train de nous filmer !Merde. Merde. Merde. Je vous l'avoue, j'ai paniqué. Je n'avais pas vraiment peur pour moi mais plutôt pour Caro. Si cette vidéo finissait en ligne, que ses amis tombaient dessus... Elle, en train de se faire sodomiser par un mec qui la tenait en laisse... J'étais celui qui l'avait poussé à faire ça. J'aurai été celui qui aurait détruit sa vie et sa réputation. Alors que je réfléchissais à quoi dire, en priant pour que le mec ne parte pas en courant (auquel cas, étant donné qu'on était à poil tous les deux, ni Caro ni moi n'aurions pu le ratt****r), Caroline m'a surpris en prenant la parole d'un voix calme :"Tu nous as filmé ?- Oui, a répondu le gars après quelques secondes d'hésitation- Tu vas en faire quoi ?- Je vais pas la publier en ligne si c'est ce qui vous fais peur"Ben voyons. Caroline a continué de me surprendre en lui faisant une proposition :"Je te propose une branlette, là, tout de suite, et en échange tu la supprimes, ok ?"Voyez-vous, je ne suis pas vraiment du genre possessif. Je n'avais jamais abordé ce point avec Caroline, mais les relations libres n'étaient absolument pas un problème pour moi, à condition d'être honnête, de tout se raconter et de toujours se protéger. Aussi, en l'entendant dire cela, loin de ressentir de la jalousie, je me suis senti durcir de nouveau. Le mec était franchement surpris, lui-aussi. Il m'a regardé et m'a demandé si j'étais d'accord avec ça. J'ai dit oui, et il m'a lancé son téléphone. J'ai regardé la vidéo en avance rapide (qui faisait 3 minutes ! Il nous observait depuis un moment mais, tellement occupés, nous n'avions rien remarqué), et j'en ai profité pour vérifier qu'il ne l'avait envoyé à personne ni publié en ligne, ce qui était apparemment le cas. J'ai supprimé la vidéo. Pendant ce temps-là, il s'était approché de Caroline et avait commencé à la caresser partout. Elle se laissait faire, avec un certain plaisir apparemment. Puis elle s'est mise à genou, et a commencé à le branler avec sa main. Elle ne l'a pas pris en bouche (après tout, on ne connaissait pas ce gars, il pouvait parfaitement avoir des maladies ou autre. Caroline était une fille prudente, et on avait pas de capote sur nous). Comme Caroline le regardait droit dans les yeux, le mec n'a pas tardé à venir, mais sur le plancher. Caroline avait redirigé sa queue pour ne pas qu'il jouisse sur ses seins. C'était mon privilège, rien qu'à moi, m'expliquera-t-elle plus tard. Il nous a remercié, tous les deux, puis est parti, presque en courant. On s'est regardé avec Caroline, et on a éclaté de rire. On s'est rhabillé en vitesse, je lui ai enlevé le collier et la laisse et Caroline est allé récupérer sa culotte. Comme prévu, elle a exposé son intimité encore souillée de mon sperme à ceux qui auraient eu la chance de passer par là, à savoir un vieux d'une cinquantaine d'années qui a essayé de faire semblant de rien voir, sans succès. On a quitté le magasin sans encombre. Je vous avoue que j'étais presque certain qu'on allait se faire arrêter par un vigile, un vendeur ou un manager. Après tout, en terme de nettoyage, il y avait du boulot après notre passage ! Surtout que le tee-shirt noir de Caroline, tâché de sperme et de bave, était une preuve plus qu'accablante. Mais non, rien. La chance surement, le fait que les vigiles aient appréciés le spectacle sur les caméras, peut-être. On ne saura jamais.A mi-chemin, n'y tenant plus, on s'est arrêté sur une aire d'autoroute déserte pour refaire l'amour. Et on a recommencé en arrivant à l'appart'. Vers la fin d'après-midi, je souriais comme un idiot, si bien que Caroline m'a lancé :"Bah alors, qu'est-ce qu'il y a ?- Je me disais que je n'avais peut-être pas trouvé notre canapé, mais que ça restait le meilleur anniversaire que j'ai jamais eu. Faudra qu'on se refasse des petites sessions shopping comme ça, ai-je conclu, si ça te tente bien sûr ?-Nigaud va, a-t-elle dit en m'embrassant, c'est quand tu veux"