Myriam

MyriamJe m?appelle Myriam, et j?ai soixante ans. Ma naissance au mois d?août a fait de moi une vierge, et ce terme m?allait vraiment comme un gant? jusqu?au jour où l?histoire que vous allez lire s?est déroulée.Je me permets de faire une suggestion aux personnes qui pensent que les seniors ne doivent pas parler de sexualité : vous pouvez passer à un autre récit?Je vis seule dans les Ardennes, non loin de Charleville-Mézières. Mon mari m?a quittée il y a cinq ans pour une gamine de 38 ans qui l?a largué après moins d?un an. Notre divorce avait été prononcé et j?ai refusé qu?il revienne, tout penaud, la queue entre les jambes. Il m?avait bafouée, il avait pris le large, il pouvait rester au large?À l?époque de ma vie conjugale, j?étais une femme amoureuse, même si au lit je ne connaissais pas le bonheur et l?extase dont me parlaient mes amies. Jamais mon mari, mon seul et unique amant, ne m?avait fait jouir, ni avec son sexe, ni avec ses doigts, ni avec sa langue. Pour atteindre le plaisir, j?avais appris à me débrouiller seule.Le jour où j?allais célébrer, en compagnie de? moi-même, mon statut de nouvelle sexagénaire, mon jeune voisin célibataire était venu, comme souvent, effectuer quelques menus travaux chez moi. J?ai évoqué ma solitude et il m?a affirmé qu?il serait ravi de m?accompagner où je voulais. Sans aucune arrière-pensée, je lui ai proposé de venir dîner chez moi et il a accepté sans la moindre hésitation.Il est rentré chez lui et est revenu vers 19 heures, douché, rafraîchi, rasé de près, vêtu d?un pantalon clair et d?un t-shirt.Pendant l?apéro et le repas, nous avons discuté, ou plutôt Sylvain m?a gentiment soutiré des confidences. Mise en confiance, je lui ai confié mes déboires et ma totale méconnaissance du plaisir conjugal. De son côté, il a prétendu qu?il me trouvait à son goût depuis l?adolescence, et a même avoué qu?il m?avait souvent espionnée depuis la fenêtre du toit de sa maison lorsque je bronzais topless sur ma pelouse, me croyant à l?abri des regards indiscrets. (En fait, c?était la maison où il habitait avec ses parents ; à présent, ils sont partis dans le sud et il la leur loue à un prix défiant toute concurrence.) Il me surprit en me disant qu?il était presque certain de la taille de ma poitrine : 95 E. Je le lui confirmai en rougissant.Après le repas et un excellent cognac, Sylvain ne se décidait pas à rentrer chez lui. Je lui ai innocemment demandé ce qu?il attendait encore de cette soirée. Sa réponse a fusé :? Je n?ai pas envie de rentrer chez moi et de dormir seul. J?ai envie de rester ici avec toi et de te faire l?amour. J?ai envie de te faire oublier ton ex-mari égoïste et incompétent.? Mais tu n?y penses pas ! Je pourrais être ta mère ! D?ailleurs je suis une amie de ta maman !? Objections rejetées, Votre Honneur ! Ma chère maman ne sera pas informée, et la différence d?âge ne me pose aucun problème. Nous n?allons ni nous fiancer ni nous marier? Je veux juste que tu prennes du bon temps avec moi, et moi avec toi. Tu me conduis à ta chambre ?Éberluée et troublée, je ne savais que répondre.? Mais enfin, je suis vieille et grosse, et tu peux draguer de jolies filles de ton âge.? Tu n?es ni vieille ni grosse, ça fait longtemps que je suis célibataire, et ça fait trop longtemps que tu es en manque. S?il te plaît, ne te prive pas et ne me prive pas de quelques heures agréables.Il me prit par la main et m?entraîna vers l?étage. Je le suivis sans résistance. Ma volonté de femme mûre était anesthésiée. Escort Bayan Je savais (ou je croyais) que cette situation était une aberration absolue, et en même temps j?avais envie de dire oui. Ma raison me criait « refuse » et mon corps me chuchotait « accepte ». Je choisis de ne rien dire du tout, et je montrai à Sylvain la porte de ma chambre.? Je passe un instant à la salle de bain, et j?arrive, lui dis-je.? Fais comme chez toi, répondit-il en souriant.Je me déshabillai et fis un brin de toilette. En me regardant dans le miroir, je me demandai sincèrement pourquoi Sylvain me trouvait à son goût. Je fus sur le point de me rhabiller et de descendre dans le salon, puis je pris mon courage à deux mains et gagnai timidement ma chambre, vêtue seulement d?un peignoir. Sylvain m?attendait, étendu sur le lit, presque nu. Il n?avait conservé que son boxer.? Je ne suis pas vraiment pudique, dit-il en se levant. Je m?en débarrasserai plus tard, si tu le souhaites.Il dénoua la ceinture de mon peignoir et, sans me demander mon avis, écarta les pans et le fit glisser par terre. Il me prit dans ses bras et m?embrassa dans le cou.? Si tu veux, on arrête tout. Ce serait dommage, mais c?est toi qui décides.Sylvain prit mon silence pour un consentement et me fit étendre sur le lit. Sa bouche se posa sur mon front, sur mon nez, sur mes lèvres. Nos langues se mêlèrent et s?entrelacèrent pour un baiser comme je n?en avais plus connu depuis des lustres. Une main se posa sur un sein, le soupesa, le malaxa tandis que sa bouche se posait sur l?autre pour le sucer. J?avais des fourmis dans tout le corps, c?était divin. Puis mon jeune voisin s?installa entre mes cuisses écartées et se pencha vers mon sexe. Quand sa langue se mit à jouer avec mon clitoris, je compris, à ma grande surprise, que le plaisir allait arriver très vite. Tandis que sa langue virevoltait autour de mon clitoris, les mains de Sylvain s?occupèrent à nouveau de mes seins. Je sentis la vague monter, gonfler, déferler, et l?orgasme me submergea.Quand je revins sur terre et ouvris les yeux, Sylvain me regardait tendrement, en souriant.? On continue ? demanda-t-il.? Toi, tu n?as rien eu? on continue.Comme nous sommes lui et moi donneurs de sang, comme ni lui ni moi n?avions eu aucun rapport non protégé (et moi pas de rapport du tout !), nous décidâmes de nous passer de préservatif. Sylvain fit glisser son boxer et son sexe dressé apparut devant mes yeux. Il le présenta aussitôt à l?entrée de ma vulve et s?enfonça lentement. Après quelques va-et-vient qui de nouveau me firent bouillir, il se retira.? Je voudrais te prendre en levrette. Tu veux bien ?Je me retournai sans un mot et m?installai à quatre pattes. Aussitôt, son pénis s?enfonça complètement et les va-et-vient recommencèrent. Les mains de Sylvain passaient de mes hanches à mes fesses, puis allaient pétrir mes seins qui tanguaient, puis caressaient mon dos. C?était bon, c?était délicieux. Pourquoi mon ex-mari ne m?avait-il jamais fait ça ? Pourquoi n?avais-je jamais connu ça ? Peut-être les personnes qui disent que l?amour rend bête ont-elles raison, finalement?Soudain, un doigt se posa sur mon anus et le titilla. Surprise, je me crispai instinctivement, et le doigt se retira. Les deux mains retournèrent vers mes seins pour les caresser. Je gémis quand mon jeune amant se mit à étirer et à triturer mes mamelons. (Il ne le savait pas, mais il y a un lien magique entre mes mamelons et mon sexe.) Puis Bayan escort les caresses reprirent, les doigts glissèrent de mes épaules à mon dos, à mes seins et à mes fesses. Dans mon ventre, les va-et-vient continuaient, je sentais qu?une nouvelle vague de plaisir était née au plus profond de moi. Lorsqu?un doigt revint taquiner mon anus, je ne me crispai plus. Une phalange s?immisça dans mon petit trou qui n?avait jamais reçu aucune visite.? Je vais jouir, me dit Sylvain. Tu es prête ?? Je vais jouir moi aussi, je t?attends.Je sentis le sexe de Sylvain se tendre encore plus, je le sentis gonfler. Au moment où l?orgasme m?emportait et où mon amant libérait sa semence en moi, le doigt qui n?avait pas quitté mon derrière s?enfonça complètement. Je crois que cette intrusion inconnue et inattendue accentua encore mon plaisir.? Alors, me demanda Sylvain quelques instants plus tard, alors que nous récupérions de nos exploits. J?aurais dû rentrer sagement chez moi ? Nous aurions raté quelque chose, non ?? Surtout moi ! Tu as bien fait d?insister. Je n?avais jamais joui deux fois en seulement quelques minutes. Et surtout, je n?avais jamais joui avec un homme, sans aide de mes doigts ou d?un jouet. Merci de m?avoir réveillée.La tête dans le creux de son épaule, je jouais nonchalamment avec son sexe au repos.? Tout à l?heure, quand tu as mis ton doigt, j?ai cru que tu allais?? T?enculer ?? Oui.? Ça t?aurait plu ?? Je ne sais pas, je ne connais pas.? Tu n?as jamais essayé ?? Ben non, jamais, même toute seule. J?avais dit à mon ex-mari que s?il le souhaitait, je ne refuserais pas. Mais selon lui on peut demander certaines pratiques à une maîtresse, mais pas à une épouse.? En plus d?être égoïste et incompétent, je pense que ton Roger était aussi un con de première classe. Pour moi, une épouse peut et doit aussi être une maîtresse. J?espère bien que celle qui sera un jour ma femme sera à la fois une épouse délicieuse et attentive et une maîtresse chaude, gourmande et audacieuse. À part ça, ça te dit d?essayer maintenant ?? Quoi donc ? répondis-je naïvement, alors que je savais parfaitement ce que Sylvain me proposait.? La sodomie, pardi. Mais je ne veux rien t?imposer, bien entendu.? On peut essayer. J?ai même du lubrifiant dans ma table de nuit.? Tiens donc !? Quand Roger rentrait d?une virée entre potes, il me grimpait dessus sans le moindre préliminaire, sans aucune préparation. Il me pénétrait, s?agitait un peu, se vidait les glandes et s?endormait. Le repos du guerrier, qu?il disait. Tu parles ! Le lubrifiant dont je me tartinais le sexe avant son retour m?évitait simplement certains désagréments.? Tu me confies le flacon, tu me remets en forme, et je t?emmène au paradis.? J?en redescends à peine !? C?est un autre !Je donnai à Sylvain le tube de lubrifiant, puis, à quatre pattes à côté de lui, je redonnai vigueur à sa queue assoupie. J?eus même l?audace de la prendre quelques secondes entre mes lèvres. Mon jeune amant se plaça ensuite à genoux derrière moi. Indécente, impudique, obscène, je m?offrais à lui, les fesses en l?air, la tête posée sur l?oreiller. Je sentis quelque chose de froid ? le lubrifiant ? sur mon ?illet. Puis un doigt, lubrifié lui aussi, apprivoisa mon petit trou vierge avant de le pénétrer d?une phalange, puis de deux, puis de trois. Je crus que l?instant fatidique était arrivé quand le doigt se retira, mais il revint aussitôt, accompagné d?un copain. Et le manège recommença. Et Escort les doigts se retirèrent.Immédiatement, Sylvain présenta son pénis devant mon petit trou. Le gland était à la porte, cette fois ça y était? Lorsque le gland franchit la porte, j?ouvris la bouche, comme si ça allait faciliter quoi que ce soit. Je restais passive, j?essayais d?être décontractée, j?attendais la suite avec une certaine appréhension. Sylvain poussa doucement, et son sexe dur s?enfonça millimètre par millimètre, sans précipitation. Je ne ressentais aucune douleur, juste une gêne. Tout ça n?avait rien à voir avec ce que j?avais lu et entendu. Mon anus vierge avait rendu les armes, je me sentais littéralement envahie, j?étais heureuse, j?étais une enculée et fière de l?être ! Cramponné à mes hanches, Sylvain se mit à aller et venir dans mes entrailles.? Je ne vais plus tenir longtemps, me dit-il au bout de quelques minutes (ou un peu moins, je ne sais plus).? Vas-y, viens, jouis en moi ! Viens, viens !Sylvain se raidit, s?enfonça profondément et arrêta d?aller et venir. Je sentis nettement les jets de sperme de son éjaculation. Instant magique !? Et alors ? me demanda-t-il un peu plus tard.? C?était fabuleux. Un merveilleux dépucelage. À mon âge, tu te rends compte ?Après le brin de toilette qui s?imposait, nous nous couchâmes ensemble pour une nuit de sommeil réparatrice.Le lendemain matin, je fus d?abord surprise de trouver un homme, jeune de surcroît, endormi à côté de moi. Puis je me souvins de tout et des découvertes que j?avais faites avec Sylvain. Je me levai et quittai la chambre discrètement, préparai du café et du thé et mis la table pour le petit déjeuner. Je regagnai ensuite la chambre et constatai que mon amant dormait toujours. Je fis glisser tout doucement la couette qui couvrait son corps. Qu?est-ce qu?il est beau ! me dis-je. Je me débarrassai de mon peignoir et, toute nue, sans honte et sans pudeur, je grimpai sur le lit. Je n?avais jamais fait une fellation, mais je me penchai et pris en bouche le pénis au repos. Comme je l?avais lu dans l?un ou l?autre roman érotique, je ne fis que le presser délicatement avec mes lèvres. Très vite, il prit de l?ampleur et se raidit. Un gémissement de Sylvain me fit arrêter quelques secondes. Le sexe bandé envahissait ma bouche. Je fis alors des va-et-vient avec ma tête, tandis que ma langue dansait autour du bout et du gland. Sylvain se remit à gémir. Peut-être rêvait-il d?une jolie jeune femme? Je poursuivis mon ?uvre et les gémissements s?amplifièrent. Quand une main s?empara d?un de mes seins, je compris que mon amant était réveillé. Il caressa ma poitrine, mon dos, mes fesses. Au bout d?un moment, alors que sa respiration était de plus en plus forte, Sylvain souffla :? Retire-toi, je vais jouir.Je ne sais pas pourquoi, mais il était hors de question que je lui obéisse. Tout le corps de mon amant se crispa, il ne gémit plus, mais se mit à rugir et une, deux, trois saccades de sperme se répandirent dans ma bouche. Sans réfléchir, j?avalai le tout. C?était chaud, c?était visqueux, c?était salé, et c?était loin d?être excellent, mais ce n?était pas non plus l?horreur absolue dont j?avais entendu parler. En tout cas, j?étais fière de moi. Et Sylvain aussi, apparemment.? Waouw, fit-il simplement. Quel réveil !? C?était bon ? demandai-je naïvement. Tu le sais, c?était ma première fois?? C?était plus que bon, c?était fabuleux. Et c?est la première fois qu?on avale mon sperme. Merci !? Merci à toi de m?avoir laissé faire, sans m?imposer ton rythme et sans m?obliger à engloutir ton sexe complètement.Après le petit déjeuner, Sylvain regagna son domicile. Nous nous somme promis de recommencer, tant qu?aucun de nous ne serait en couple, mais ça, c?est (peut-être) une autre histoire.