La Bourgeoise brutalisé

La Bourgeoise brutaliséElle devait avoir pas plus de 45 ans.C'est une de ces femmes assez délicates et gracieuses.Quand elle marche on a l'impression que ses pied ne touche pas le sol et elle roule un peut des hanches ce qui met encore plus en évidence ces formes.Cette femme c'est une des secrétaire de direction.Celle du genre qui ne vous regarde pas encore moins pour vous dire bonjour.Moi je ne rêvais pourtant que de la punir et de lui faire payer pour toutes les autres on lui enfonçant ma queue dans sa chatte.Je ne sais même pas si ma queue aurait pu tenir à l'intérieur de ce petit bout de femme.Elle devait mesurer 1,75 m avec des yeux bleues ciel et la blondeur de ces cheveux faisait penser à un champs de blé.Le fin duvet blond sur son visage lorsqu'elle me tend mon paquet est magnifique à regarder.Elle paraissait pour un peu dire très bien proportionnée à l'excepté de sa poitrine un peu grosse pour son gabarit.Je peux dire que sa peau très laiteuse devait probablement laisser voir ses veines sur ses seins.Mon instinct me disait de les sucer et en y passant mes journées et mes nuits on essayant de les têter comment un enfant cherchant à se nourrir.Si on essayait de me les enlever j'aurait fait des caprices. Pourtant je n'étais pas enfant mais bien un homme d'un 1,95 pour 110 kilos . Le sport avait fait de moi un véritable athlète et ma carrure attirait beaucoup les femmes sans doute se sentiment de sécurité.Tout commença vraiment après qu'un client ne manquant pas de l'agresser pour une raison qui me semblait obscure et moi c'est à ce moment que j'arrivais pour récupérer mon paquet dans son entreprise car j'étais coursier.Ce n'était pas un client mais bien son mari qui tapait un véritable scandale avec son patron.Et j'appris qu'elle c'était interposée pour empêcher qu'ils n'en arrivent aux mains et moi aussi je vins me place entre eux toi.Son mari la traitait de traînée, de illegal bahis mari couche toi la.Ils étaient séparer, pas encore divorcé mais il l'aimait encore.Quand la police vint ils lui mirent les menottes et partirent avec lui.Son patron lui demandait si elle voulait prendre son après midi car elle était toute tremblante.Elle ne pouvait pas conduire et son patron lui proposait de lui appeler un taxi. j'intervenais et que je proposait de la raccompagner chez elle car je savait où elle habitait.Aussitôt dans ma fourgonnette j'en profitait pour lancer la discussion.Elle répondait à demi mot et cela sans me connaître.Mon Franc parler était un quelque chose qui m'avait valu pas mal de problème... Alors on se tape le patron de la broîte.Elle rougie et me toisant l'air de dire de quoi je me mêle... Vous les secrétaires votre but c'est de vous faire les patrons et de récupérer le magot mais vous savez pas que les coursiers ne pensent qu'à vous baiser.. Je ne vous permet pas de me parler sur ce ton et m'a vie privé ne regarde que moi.Je vous réglerais votre course une fois que l'on sera arrivé.Elle me prenait pour son larbin j'étais prêt lui montrer de quel bois je me chauffe.Se serais la force des mots contre la force physique.Une fois arrivé chez elle je vins une femme qui tenait dans ces bras un nourrisson. Elle lui demanda s'il avait bien mangé.Je compris que c'était la nounou. Celle ci répondis que le petit n'avait pas bu tout son biberon.Elle pris le petit dans ces bras et en profita pour donner congé à la nounou et me demanda d'attendre pour me payer.Elle posa le petit dans son landau et fouilla dans son sac.Elle avait beau chercher et elle ne trouvait rien.Elle me dit alors :. Comme vous passez demain au travail pour récupérer vos paquets je vous donnerais vos sous demain Elle me prenais encore pour son larbin... Il faut que je fasse du gasoil, vous avez vu toute la route illegal bahis siteleri que l'on a fait moi je suis bientôt à sec en lui répondant d'un ton sec.Elle était coincé car sa voiture était au travail donc elle ne pouvait pas se rendre au distributeur de billet... S'il vous plaît je suis pressé j'ai encore une dernière course à récupérer et je vais être en retard ... Vous s'avez bien comment cela se passe quand on est pas à l'heure...Bon là tu ne peut pas payer on arrête de rigoler tu ouvres tes cuisses pour que j'y fourre ma queue comme ça on sera quitte.Elle devenait toute tremblante et essaya de me tenir tête et d'une voix ferme me dit :. Mais vous n'y pensé pas. Je vous demande de vous en allez de chez moi sinon j'appelle la police... Vous n'aurez pas le temps de les appeler et croyez moi vous risquez de passer un mauvais quart d'heure .De toute façon j'avais décider de me la faire aujourd'hui.Je m'approchait vers elle, elle reculait et trébucha en se prenant les pieds dans les tapis.Je me jetais sur elle et cette Bourges m'avait facilité le travail car elle portait une jupe et c'est avec une facilité que je déboutonnais mon pantalon et relevait sa jupe.Elle se débattait en pleurant et me demandant m'arrêter.Elle serrait les cuisses mais c'était peine perdu car j'étais à genoux sur ces cuisses et j'aurais pu les lui briser et c'est de cette manière qu'elle les écarta et que glissant fasse à elle sur le sol, mon pieux rentra en elle.Cette Bourges ne portait même me pas de culotte et je me dis que son mari n'avait peut être pas tord.Une fois en elle je ne bougeais plus car je voulais qu'elle comprenne qui commande.Je restais empalé en elle et lorsque que je décidait de bouger en elle je me rendis compte que son vagin était très serré... Tu es serrer sale Bourges mais moi je vais former ta chatte après moi tu pourras te taper tout les patrons du monde ils entreront canlı bahis siteleri comme dans du beurre.Elle se débattait toujours et avais tourner sa tête sur le côté .Chose que je pris encore comme un mépris et je cherchais à lui fourrer la langue dans la sienne.Elle n'opposait pas une grande résistance et je lui suçait sa langue à l'aspirant.Je la possédait entièrement et ma queue ne sortait que d'un centimètre pour mieux s'y enfoncer .Mon gland était plus large que le reste du diamètre de mon sexeEt je sentait à chaque mouvement celle ci toucher le début de son utérus et c'est à se moment que je remarquait qu'elle avait entrepris de me sucer ma langue alors que c'était moi qui menait la danse.Elle me l'a suçait tellement fort que si c'était ma queue je n'aurait pas tarder à jouir.A cette idée ma queue gonfla encore de volume et elle eu un peu mal.Je décidais de lui laisser un peu de repos et me retirai délicatement car je ne voulais pas casser mon jouet.Elle me suçait encore la langue de façon effréné.J'ai eu du mal à lui faire lâcher prise et lui demandais:.. Tu ne veux pas sucer autre chose que ma langue.Et pour la première fois elle me répondis d'un ton doux.. Je veux, je veux , je veux te ...Elle ne trouvait pas ces mots et je décidait de la prendre dans mes bras pour la déposer sur le canapé.J'étais assis sur celui ci et elle allongé la tête le long de ma cuisse... Tu voulais faire quoi exactement lui dis-je?..tu veux sucer ma queue, il faut appeler un chat un chat.Je lui fit répéter ce qu'elle voulais me dire.. Je souhaiterais sucer ton sexe.Elle me fis rigoler, elle pensait écrire une de ces formules que l'on trouve sur les courriers.Elle rougis et mais moi j'en avais encore pas fini avec elle.Je lui répondis Madame peu le prendre en bouche.Elle me suçait en aspirant comme si ça vie en dépendait.Son souffle devint cour et je lui caressait les cheveux.Ils étaient doux et sentaient merveilleuse bon.Elle voulu reprendre son souffle et se dégagea un peu mais je lui maintenait la tête car ma bite réclamait encore du plaisir .Elle hoqueta mais je n'avais que faire c'était mon quart d'heure Américain.La suite bientôt