Techniques d'Interrogatoire

Par Monsieur
« Bonjour Messieurs. Prenez un siège. »
Le sergent Beast dit cela en souriant à la nouvelle série du cours de formation.
« Je reviens rapidement sur ce que nous avons vu jusqu'ici. Le premier jour, nous avons abordé la capture et le transport. Hier, nous avons vu la procédure de détention et le code de conduite pour s'occuper des détenus. »
Le sergent Beast allume le rétro-projecteur.
« Aujourd'hui, Messieurs, nous avons un cours théorique et un pratique sur les techniques spécifiques pour les interrogatoires de prisonnières. » La classe, huit hommes en uniforme militaire, regarde l'écran sur lequel le mot VIOL apparaît.
« Ceci est probablement votre première introduction à l'une des techniques les plus efficaces pour interroger des détenues. Détenues ou prisonnières, si vous préférez ce terme. »
Les huit soldats écoutent. Aucun de parle ni ne bouge.
« L'un ou l'autre d'entre vous peut être surpris de voir ici le mot VIOL. C'est inutile. Le viol de prisonniers, d'habitude des femmes, est quelque chose de standard, c'est une pratique
institutionnalisée dans la plupart des pays. Le viol est en particulier efficace lorsqu'il est appliqué à de jeunes prisonnières instruites et sophistiquées. »
Le sergent Beast passe un certain nombre de transparents qui montrent de jeunes femmes prisonnières dans de nombreux pays différents, dans ces cellules anonymes partout dans le monde. Quelques-unes pleurent, d'autres crient, mais toutes ont l'air terrifiées.
« Dans des circonstances normales, une prisonnière doit être victime d'abus sexuels, que cela prenne ou non la forme d'un véritable viol. Ce peut être la simple menace de viol, ou de la violence exercée sur la prisonnière, ou des fouilles très intimes, ou le fait d'obliger la prisonnière à effectuer des actes humiliants ou dégradants. » Le sergent Beast passe au transparent suivant.
« Je vais maintenant vous montrer différentes pratiques et nous en verrons d'autres lorsque nous passerons à la pratique. Nos collègues allemands nous ont gentiment prêté une de leurs
prisonnières. » Il passe aux transparents suivants :
1.MASTURBATION.
« La prisonnière est obligée de se masturber devant vous ou vos collègues. »
2.PÉNÉTRATION.
« Pas nécessairement par un pénis. La prisonnière peut être obligée à utiliser un objet que vous lui avez fourni. Ce peut être une brosse, ou une de ces ventouses pour débloquer les bassins, ou un vibrateur, ou un fusil déchargé, ou le pied de ce tabouret, un fruit, ou n'importe quoi de long... Ce peut être introduit dans le vagin ou dans l'anus.
3. BESTIALITÉ
« Ici, l'animal traditionnel est le chien mais il y a d'autres possibilités. Cependant, vous devrez faire attention avec les très grands animaux. Rappelez-vous ce qui est arrivé à l'impératrice Catherine de Russie. Elle était amoureuse des chevaux. Elle aimait les monter. Elle avait un cadre en bois à la tête de son lit pour y mettre un cheval. Un jour, l'ensemble s'est effondré et le cheval est tombé (je suppose que « tombé » est le mot juste, messieurs). L'impératrice est morte avec un sourire d'ici jusque-là! » Les hommes éclatent de rire.
4.DANSE
« La danse est amusante. On garde ses vêtements et on fait danser la prisonnière en faisant un strip-tease. C'est simple mais humiliant,elle ne peux s'arreter qu'une fois à poil »
5.POSES
« La prisonnière est obligée de prendre une série de poses que vous décidez. Vous tournez autour d'elle en commentant ses parties les plus intimes. » Le sergent Beast allume une cigarette. Il commence à faire chaud dans la pièce. Les hommes
commencent à s'agiter.
« Une autre technique très facile à mettre en ?uvre est d'obliger la prisonnière à se déshabiller devant sa famille, des amis, des voisins, n'importe qui qu'elle connaît. Si elle fait partie d'une unité de guérilla, ce peut être d'autres membres de son organisation. C'est beaucoup plus humiliant pour quelqu'un de bien élevé de retirer ses propres habits. »
Il prend une caméra par terre.
« Vous pouvez aussi filmer (ou faire semblant, c'est plus sûr pour vous). Beaucoup de gens n'aiment pas voir une caméra pointée sur eux quelles que soient les circonstances c'est encore
pire si l'on abuse d'eux en même temps. Vous devez faire apparaître clairement que vous êtes maître de la situation, pas elle. Vous décidez ce qu'elle fait, comment et quand elle le fait, et vous appréciez ce pouvoir que vous avez sur elle. Vous appréciez de la voir souffrir! » Une brève pause... Tout le monde est silencieux.
« Tout ce dont nous avons parlé aujourd'hui peut se faire dans une prison, un poste de Ataşehir travesti police, un domicile privé, au milieu d'un bois, n'importe où. Et rappelez-vous qu'avoir quelques témoins - des parents, etc. -, Cela à un effet d'intimidation sur toute la population locale. »
Le sergent Beast dévisage les hommes un par un.
« Si je peux revenir sur la question du viol, mon avis est que vous pouvez considérer que la prisonnière est un tribut légitime de guerre, un butin, et que de ce point de vue, le viol est une
option disponible. Si vous choisissez cette option, prenez votre temps. Travaillez à votre guise. Commencez par les autres choses de la liste. Regardez la prisonnière, voyez ce qui semble lui être le plus humiliant, parce que cela va briser son esprit et la faire parler plus vite que n'importe quoi d'autre.
Ce ne sera pas amusant pour elle mais cela vous fera passer de très bons moments, Messieurs. Vous serez dans une longue tradition militaire qui combine le travail patriotique et le
plaisir. » L'assistance se sent à présent quelque peu soulagée...
« D'innombrables gouvernements, avec ou sans opposition terroriste ou séparatiste, utilise le viol comme une partie de la stratégie militaire. Bien sûr, il y a des erreurs. Des femmes sont parfois violées parce qu'elles sont au mauvais endroit au mauvais moment. Elles sont injustement punies, simplement parce qu'elles habitent des régions fréquentées par des guérillas ou des éléments subversifs. C'est la vie. Je dois vous mettre en garde de ne pas laisser la possibilité d'une erreur
vous empêcher d'utiliser le viol en tant que procédure.
Il y a la question séparée de l'usage du viol et de la torture sexuelle sur la population civile. Cette pratique a l'avantage de créer un sentiment d'être sans défense, ce qui affectera les nouvelles prisonnières avant même qu'elles soient prisonnières. Dans certains cas, les nouvelles prisonnières sont tellement effrayées que lorsqu'elle sont emmenées dans un camp de détention, elles se mettent à crier et à promettre de dire tout ce qu'elles savent, à peine franchi les portes. Ne les croyez pas. On ne peut faire confiance à une confession sans torture.
Dans ces cas-là, vous devez commencer par expliquer en détail ce que vous avez l'intention de faire à la prisonnière. Qu'elle y pense. Peut-être pourrait-elle vous regarder vous occuper d'une
autre prisonnière. Commencez doucement. Faites monter la tension. Surveillez attentivement ses réactions, ses yeux, son langage corporel, pour voir ce qu'elle trouve le plus répugnant. Utilisez une liste de perversions sexuelles et observez la réaction. Ce peut être un petit tremblement, des yeux fermés, des clignements, des poings bien serrés, un cul serré, de la sueur, une larme, n'importe quoi...
Vous cherchez un signe et vous vous en souvenez. Si vous ne parvenez pas à repérer le moindre signe, ne vous inquiétez pas. Faites une pause. Jouez le type sympa pendant un moment, puis recommencez. En quelques heures, mêmes les espions les mieux entraînés laissent passer quelque chose. »
Le sergent Beats sourit.
« C'est à peu près tout, Messieurs. Prenez du plaisir à faire votre travail. On ne vous accusera jamais de viol ou de torture tant que vous travaillerez pour le Service Secret. Le viol et la torture
sont considérés, de manière non officielle, comme légitimes et en accord avec la politique du gouvernement.
Et maintenant, Messieurs, une pause pour le casse-croûte et le café. Ensuite, vous aurez une séance de travaux pratiques avec une prisonnière nouvellement capturée. Une Russe, qui
travaille peut-être pour le KGB. Elle n'a rien mangé ni bu depuis deux jours et elle a deux projecteurs de cinq mille watts en permanence braqués sur elle. Jusqu'ici, on ne lui a rien fait d'autre. »
Les soldats quittent la salle de conférence. Pendant le café, ils discutent de la séance du matin et se demandent quelles procédures vont être appliquées pendant les travaux pratiques.
2. Travaux pratiques
Charlotte est assise sur la table lorsqu'ils entrent dans la pièce. Ses yeux sont pleins de frayeur. Elle regarde les hommes. Ils sont tous armés de matraques. Aucun d'eux ne sourit. Tous la fixent, l'air déterminé. Elle n'a jamais été aussi effrayée de sa vie, ni ne s'est sentie autant sans défense.
Soulevant ses genoux jusqu'à ses seins dans un geste instinctif de défense, elle implore :
« S'il vous plaît, laissez-moi partir. »
Sa voix tremble et elle est couverte de sueur à cause des projecteurs. Le sergent Beast soulève un pied de la table. Charlotte tombe à terre avec un hoquet. De manière irrationnelle, Ataşehir travestileri elle essaie de ramper vers la porte. Un des élèves la prend par les chevilles et la ramène. Un autre la remet sur
ses pieds en la tirant par les cheveux. Elle se protège avec ses bras en criant :
« Non, s'il vous plaît, NOOOON! »
Elle est encerclée. Elle sent une main qui passe sous sa robe et lui pince durement les fesses.
« Ne me touchez pas! »
Elle repousse la main, fait un bond vers la porte et trébuche. Elle se retrouve à genoux, terrifiée. Un des agents l'attrape par les cheveux et la tire en arrière. Elle rue sauvagement dans toutes les directions. Son c?ur bat à toute vitesse. Au bout d'un moment, elle se sent faible au niveau des genoux et sa tête se met à osciller. Elle perd conscience et s'écroule par terre. Le sergent Beast lui hurle dans l'oreille :
« Lève-toi, espèce de chienne! Debout! »
Quelqu'un d'autre lui fait écho :
« Putain, lève-toi, espèce de connasse! »
Les matraques commencent à s'abattre sur ses jambes. Elle parvient à se mettre à genoux. Un des agents met sa matraque sous son menton et la fait se mettre debout. Charlotte a bien conscience d'être un objet de désir sexuel et que l'un d'entre eux a ses mains sur ses fesses. Le sergent Beast ordonne :
" Enlève tes fringues!!! "
- NOOOON! Crie-t-elle. »
Elle sent un énorme coup de matraque sur son tibia et se retrouve par terre sous le coup de la douleur.
« Debout, putain de salope! »
Elle arrive à se relever.
« ENLÈVE TA ROBE! »
Ses mains tremblent très fort mais elle parvient à descendre le zip de sa robe, dans son dos, et elle fait passer les bretelles par-dessus ses épaules. La robe descend jusqu'à ses hanches. Elle
croise les bras sur son soutien-gorge. Les soldats ne pipent mot mais ils regardent intensément ses seins. Elle se remet à trembler. Pas un simple frisson, un vrai tremblement. Tout à coup, de manière inattendue, elle reçoit un autre coup de matraque sur le même tibia. Elle tombe par terre en hurlant. Un agent lui crie, en lui balançant un coup de pied sauvage :
« Lève-toi, espèce de chienne stupide! Lève-toi! »
Elle est maintenant pleine de confusion mais elle se relève en esquivant les matraques et les bottes qui volent. Son visage est tout rouge et sa gorge est sèche.
« Vire ton soutif! Allez! TOUT DE SUITE! »
En tremblant, elle tâtonne sur le fermoir et parvient à enlever son soutien-gorge. Elle le laisse tomber et se couvre immédiatement les seins avec ses mains. La matraque du sergent Beast passe sur ses bras.
« Laisse pendre tes bras. Allez! montre tes nichons »
Elle se tient debout, nue, devant ses interrogateurs, les bras le long du corps, sans soutien-gorge.
Elle regarde la sol. Une matraque lui soulève le menton. Un de ces hommes primitifs se masturbe devant elle. Elle se couvre le visage avec ses mains. Quelqu'un lui crie à l'oreille :
« Laisse tomber tes mains, espèce de salope! Si tu refais ça, je te casse les poignets et les doigts! »
Charlotte se tient droite en pleurant.
« Enlève tes chaussures. »
Elle enlève facilement une chaussure, mais la douleur dans l'autre jambe rend difficile l'enlèvement de la seconde. On la pousse. Elle tombe et on la frappe à nouveau. Elle se relève.
Elle est sur le point de remonter ses mains pour couvrir ses seins mais elle résiste à la tentation.
Ses mamelles lui semblent très vulnérables et elle sait que tout le monde la fixe du regard. Deux agents tournent autour d'elle en faisant des commentaires sur son corps, en particulier sur la
forme et la taille de ses obus. Ils les pincent, les tordent et les font rouler puis les projettent de bas en haut avec les paumes de leurs mains. Les autres se joignent aux premiers et lui passent les mains sur tout le corps. Celui qui se masturbait met sa main libre dans sa culotte.
« Maintenant, enlève ton slip!!!. »
Mécaniquement Charlotte lève lentement les mains. Les soldats reculent pour mieux voir. Elle baisse sa culotte sous ses genoux puis s'en dégage. Le sergent Beast lui tend une paire de bas, une sorte de corset de music-hall et des chaussures à hauts talons en disant :
« Mets-ça, espèce de salope!... Et le collier et la ceinture! »
Pour finir, le sergent Beast la menotte. Les menottes sont liées ensemble par une courte chaîne...
« Bien. Maintenant, marche comme une pute. »
Sa voix est sombre, chargée de lubricité. Tirant sur la laisse, il ajoute : « Sois plus sexy, espèce de chienne! Bouge ton cul! Lève la tête! Montre-nous quelque chose de plus provocant! Travesti ataşehir »
Charlotte essaie, mais elle a du mal à poser sa jambe blessée. Ils la regardent tous. Ils la désirent, tous.
« Lève les genoux quand tu marches! Plus haut! »
Une matraque la frappe sur sa jambe valide pour lui faire faire un effort.
« Plus haut! Plus haut! »
Marche,comme une pute!
Elle tourne autour de la pièce au pas de l'oie, dans une parodie des Nazis.
« Maintenant, enlève tous tes vêtements. A POIL, ET VITE! ALLEZ, ENLÈVE TOUT! Tourne-toi face à nous,
que l'on puisse voir ce que tu fais! »
Plus sexy, espèce de chienne!
Elle se tourne pour faire face aux huit hommes et retire tous ses habits sans les regarder.
Lorsqu'elle lève la tête, le sergent Beast est en train de rentrer dans la pièce, portant un énorme phallus, un gros morceau de bois aussi haut que son vagin et doté d'une lourde base métallique. Il le pose devant elle.
« Maintenant, branle-toi la chatte, fait toi mouiller. Ensuite, on veut te voir le monter et jouir. on veut aussi t'entendre jouir quand tu téclatera la moule sur ce gode géant!!!! »
Charlotte ne s'attendait pas à cela. Elle a été préparée à des brutalités physiques mais pas à ça. Elle relève la tête et regarde ses tortionnaires. Elle ne voit rien d'autre que du désir sexuel. Il n'y a aucune humanité, aucune compassion, et aucune chance de pitié, seulement du désir et de la colère. Elle a l'impression qu'elle est dans une pièce pleine de robots avec tous le même cerveau, tous programmés pour la frapper, l'humilier, peut-être la tuer. Ou, à ce moment précis, la regarder se masturber. Et si elle ne le fait pas, les coups matraques vont à nouveau lui pleuvoir dessus. Elle ne peut pas supporter ça.
Elle ouvre largement ses jambes de chaque côté du phallus de bois ; les hommes sont debout en demi-cercle autour d'elle. Elle le prend et l'appuie contre son vagin.
« Mets-le dans ta fente, place-toi au-dessus. »
Allez, mets-le dedans!
Elle ouvre les lèvres de son vagin et commence à se frotter contre le bois. Elle utilise aussi un doigt sur son clitoris. Elle ferme les yeux et essaie de se concentrer. Son vagin est tout sec et elle a du mal à se lubrifier, mais elle finit par y arriver.
« Utilise une main sur tes nichons. »
Elle lève une main et commence à stimuler ses tétons. Elle les sent qui gonflent... Ses doigts tremblent encore et elle perd parfois sa concentration mais petit à petit, ses hanches prennent le dessus et commencent les mouvements lents et familiers qui poussent sa chatte de plus en plus contre le phallus. Elle inspire plus fort au fur et à mesure que son rythme s'accélère et que ses doigts passent de plus en plus vite d'un mamelon à l'autre.
Elle descend ses deux mains vers son vagin pour mieux l'exposer au bois et elle se travaille rapidement le clitoris d'un doigt. Elle s'apprête à jouir, elle le sent... Comme les vagues de
l'orgasme augmentent, son esprit commence à s'embrumer. Elle incline le phallus vers le bas pour placer son clitoris dessus. Elle se penche en avant, les yeux fermés, ses seins pendent lourdement et se balancent sauvagement tandis qu'elle pousse vers le bas sur le phallus qui disparaît en elle, mais elle ne cesse pas de se travailler le clitoris. Elle est maintenant haletante et
se met à s'agiter hors de tout contrôle...
« Noooon!... NNNOOOOON! AAARRHHHH! AAAHHHH! NON! NOOOOOOOOOOOON!
AAAARRRRRHHHHHHH! »
Elle jouit et plonge en avant, à la limite de la perte de connaissance, avec le bout de bois en elle. Elle garde le phallus à l'intérieur, le temps de reprendre son souffle, et elle sent les forces et la conscience qui lui reviennent lentement. Puis elle se soulève pour s'extraire du phallus qui est à présent luisant de cyprine dans la lumière.
Elle regarde les hommes. Leurs visages sont fermés, comme des masques. Tous paraissent sur le point de se jeter sur elle pour la violer. Elle réalise qu'elle s'est masturbée, qu'elle a terminé, mais la plupart d'entre eux n'en est pas là. Elle redoute le pire... Le sergent Beast s'accroupit devant elle et lèche le flot de sécrétions qui coule lentement le long de ses cuisses, en disant : « Très bien. »
En même temps, il passe ses doigts sur sa chatte en faisant de petites boucles dans sa toison pubienne qui est maintenant très mouillée. Il met ses doigts entre ses lèvres et trouve son clitoris
qu'il travaille très lentement. Elle hoquète.
« C'était un bon début. Maintenant,on va raser cette chatte,et nous allons faire entrer les invités. Ils arrivent au bon moment
pour le reste de la prestation,ce sont tes premier clients, car maintenat, tu vas faire la pute pour le restant de ta vie »
Il va à la porte. « Entrez.Le spectacle commence juste. »
Paul et Susan Lester, les parents de Charlotte, entrent dans la pièce d'un pas mal assuré, Son père et sa mère ont déjà été mis à poil...
FIN