Ma Vie de Femme Retrouvée (Acte 07)

Résumé des 6 premiers chapitres
Marie, mariée, mène une existence triste et monotone avec Jean qui passe son temps devant la TV, plutôt que de s'occuper et sortir son épouse. Il est passif et froid comme un glaçon, elle est active et chaude comme une allumette.
Pour pallier à cette carence affective et sexuelle et donner un sens à sa vie, Marie décide de s'inscrire dans un club de fitness. Et là, c'est la rédemption. Elle a réveillé ses instincts et son corps. En plus de la musculation et la souplesse sur les agrès, sa sexualité et sa libido ont trouvé du répondant dans tous les recoins de l'établissement.
Forte de son expérience, elle propose son amie Agnès de s'inscrire, ainsi et elles vont, ensemble ou séparément, profiter de tous les instants.
Marie se retrouve avec un couple au sauna, puis en cabine. Quant à Agnès, c'est dans le parking souterrain qu'elle retrouve son corps de femme.
Nos deux femmes délaissées se retrouvent quelques jours plus tard au club fitness pour tester le hammam
Marie retrouve Jean, son mari, dans le lit conjugal. Il a délaissé sa TV et elle a renoncé à la masturbation et à l'emploi de ses « sex-toys ». Ce « comeback » est le ciment qui redonne au couple des envies et sa raison d'être.
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Il fait grand beau, il est 10 heures du matin et Jean est parti faire quelques courses au Brico-Centre.
J'en profite pour appeler Agnès et lui raconter ce retournement de situation opéré entre Jean et moi.
Elle est étonnée et contente pour moi et pour mon couple.
- Tu sais Marie, ton mari est un bel homme, et si tu n'en veux plus, je le récupère volontiers!!! tout ça dans un grand éclat de rire
- Que ferais-tu d'un deuxième mari, Agnès?
- Igor est un goujat, et si je reste avec lui, c'est pour des raisons de commodités. Comme je t'ai déjà expliqué, il passe son temps avec les copains, au bistrot, et quand il rentre, le plus souvent saoul, il me saute sans ménagement. En fait, il me viole. Si je refuse, il me menace du poing. Après cet acte cruel, le seul souvenir qu'il me reste, c'est une chatte baveuse et endolorie.
- Ecoute Agnès, tu sais que l'on ne se cache rien et que l'on se dit tout?
-...
- J'ai une proposition à te faire
-...
- Voilà, Jean à son anniversaire à la fin du mois et je ne sais quoi lui offrir pour cet événement. Voudrais-tu faire partie de son cadeau?
-...
- J'organise un déjeuner pour nous trois. Toi, Jean et moi, un buffet froid bien arrosé, et après, si tu le veux bien, on s'occupe de lui, et de nous en même temps.
- Hummm!!!
- Tu t'habilles sexy, affriolante, et on passe notre homme à la casserole après le repas. Qu'en dis-tu?
- Bon, c'est vrai que Jean est un beau mec, ça me plairait bien qu'il me fasse l'amour, mais j'ai peur que ce petit jeu jette de l'ombre sur notre amitié. Notre complicité vaut de l'or, tu le sais, et ce serait dommage de tout foutre en l'air pour un coup de bite, surtout que maintenant, avec le club, il y a du potentiel.
- Ecoute Agnès, c'est un cadeau d'anniversaire que je te demande, ce n'est pas une liaison. L'anniversaire, c'est une fois dans l'année.
- Ecoute Marie, laisse-moi réfléchir, je te rappelle en début d'après-midi, ou si tu préfères, je passe te voir, et on en parle tranquillement sur ta terrasse.
- OK, bonne idée. Passe vers les deux heures, nous serons seules. Emmène ton maillot de bain.
- OK, à tout à l'heure, je t'embrasse.
Jean, détendu, souriant, causant, enjoué, est-il redevenu l'homme qui m'a séduite dans ma jeunesse?
- Ma chérie, cet après-midi je vais faire un saut au bycasino magasin de sport trouver un nouvel équipement, passer au club de tennis du village d'à côté pour me réinscrire. Je dois impérativement me bouger un peu.
- Oui Jean, c'est une excellente idée. Ça fait longtemps que je voulais te dire de le faire, mais j'appréhendais ta réponse. De mon côté, Agnès va passer me voir. Nous allons bavarder, nager et refaire le monde.
- Embrasse-la pour moi, je l'aime bien cette nana!!!
- OK, je transmettrai...
Jean s'en va et quelques minutes plus tard, Agnès se pointe. Plus belle que jamais. Si les deux s'étaient croisés aujourd'hui, la date d'anniversaire aurait peut-être avancée.
Arrivée sur la terrasse, Agnès se met toute nue, le moins discrètement possible. Elle pivote plusieurs fois sur elle-même, histoire de me laisser admirer sa plastique, sa chatte fraîchement rasée et surtout de me donner des envies que j'ai déjà.
- Je peux rester comme ça? déclame-t-elle avec sa dégaine de femme fatale
- Fais comme tu as envie, si tu ne crains pas le voyeurisme. Dans l'immeuble d'en face, un vieux schnock, armé de jumelles, n'arrête pas de mater ses voisines à travers ses rideaux et de se branler.
- Eh bien, faisons lui plaisir!!!
Allongée lascivement sur un transat, les yeux dans le vague, Agnès plane. Elle sort de sa torpeur quand elle me voit revenir avec deux Spritz et quelques petits gâteaux secs.
- Alors Marie, j'ai bien réfléchi à ta proposition et j'accepte. Je veux bien être le cadeau d'anniversaire de Jean, à condition que nous fêtions cela tous les trois.
- C'est évident, tu ne crois pas que je vais vous laisser seuls fêter son anniversaire!!! dis-je en riant.
Je me débarrasse, moi aussi, de mon bikini, prends les deux verres et invite Agnès à la baignade.
Accrochées au bord du bassin, de l'eau jusqu'au épaules, nous sirotons notre verre et peaufinons notre scénario pour le jour « J ».
Nous sommes toutes les deux folles d'impatience. On élabore des petites scènes pour notre grand plaisir Elle et Lui, Lui et Moi, Elle et Moi, Elle, Lui et Moi. Evidemment, ces projets nous mettent le feu au ventre.
Nues toutes les deux dans la piscine, je l'attrape par la taille, l'attire à moi et l'embrasse goulûment sur la bouche. Un baiser interminable. Nos langues se mélange, se caresse, se tutoie, se cherche, se trouve, un vrai régal. Ses tétons, comme les miens se sont durcis et se frottent l'un contre l'autre. Nos pubis, en immersion, se toisent et se font des clins d'?il. Ma chatte est en ébullition, j'ai envie d'elle. J'ai envie qu'elle me touche, qu'elle me lèche, qu'elle me fasse jouir. Elle aussi, bien évidemment est dans le même état d'esprit, ça se lit dans son regard.
Mais, d'un commun accord, nous décidons d'attendre l'anniversaire pour aller au bout de nos envies. Un cadeau supplémentaire pour lui : deux femmes amoureuses qui s'envoient en l'air sous ses yeux.
Le jour « J » arrive enfin. J'informe Jean que le repas d'anniversaire est un apéritif dinatoire commandé et livré par un traiteur et que, pour mettre un peu d'ambiance, Agnès va se joindre à nous. Son regard s'illumine. Je le soupçonne même d'avoir un petit faible pour elle et d'en faire un fantasme. La preuve en est qu'il prend du temps à se bichonner et se fringuer, ne laissant rien au hasard.
Agnès arrive, ponctuelle. Elle est sublime. Vêtue d'un tailleur vert pomme et blouse blanche à jabot, jupe à ras-le-bonbon, escarpins et sac assortis, léger maquillage et coiffure ondulée retombant sur ses épaules.
Une gerbe de fleurs pour madame et le dessert (top secret) à entreposer dans un endroit frais.
Après bycasino deneme bonusu avoir échangé quelques banalités, debout au milieu du hall d'entrée, nous gagnons la terrasse où nous attendent nos agapes.
Jean fait péter le bouchon d'un Moët & Chandon millésimé qui accompagnera parfaitement des petits canapés au saumon, au caviar, à la mousse de crabe.
L'ambiance est excellente, les gags et anecdotes fusent, tout se déroule pour le mieux du monde.
Suit un capiteux Barolo pour accompagner de magnifiques toasts de vitello tonnato à la truffe blanche d'Alba et carpaccio parfumé à l'huile d'olive, basilic et parsemé de copeaux de Pecorino.
Au fur et à mesure que le repas avance, que les verres se vident et se remplissent, l'ambiance monte, les grivoiseries deviennent de plus en plus salaces et ciblées en dessous de la ceinture.
Jean, entouré de ses deux femmes est comme un poisson dans l'eau.
Le dessert, apporté par Agnès, clôture le repas. Ce sont des tétons de Vénus (flan à la framboise en forme de sein, avec aréole en chocolat et petit bonbon en guise mamelon). Ravissant, appétissant et surtout marrant. Cette dernière gourmandise indique clairement l'orientation des heures à venir.
Agnès, s'éclipse rapidement aux toilettes et récupère le sac préalablement déposé pour se mettre en tenue de « combat ».
Quelques minutes, elle ressort transformée en amazone, vêtue de cuir noir intégralement. Bandeau dans son épaisse chevelure, crêpée et ébouriffée pour l'occasion, petit top laissant déborder sa splendide poitrine, short moulant à l'extrême épousant même le contour de sa vulve, chaussures à talons retenues par des lanières remontant aux genoux.
De sa démarche lente et chaloupée, elle déroule une banderole avec comme inscription « Bon anniversaire Jean », s'approche de mon homme, s'assied sur son genou droit et lui proclame,
- Je suis ton cadeau d'anniversaire, fais de moi ce qu'il te plaît!!!
et elle lui dépose délicatement un chaleureux baiser sur la bouche.
A mon tour je me lève, viens poser mes fesses sur sa jambe gauche et rectifie :
- Nous sommes ton cadeau d'anniversaire, fais de nous ce qu'il te plaît!!!
- Euhhh!!! Euhhh... je...., je...!!!!
Notre Jean est interloqué, totalement déstabilisé. Pour le détendre, je lui dépose, moi aussi, un doux baiser sur la bouche et commence lentement à déboutonner sa chemise avec l'aide de ma complice. Toujours avec son aide, je me débarrasse de mes vêtements, gardant uniquement mon string et mon soutien-gorge à balconnets et, sans ménagement, retirons le pantalon de notre matou, lui laissant que son boxer, déjà bien gonflé.
La chaleur, l'excitation montent, mais la bite de notre mâle Alpha n'est pas en reste. Elle souffre prisonnière son caleçon.
Abandonnant nos vêtements sur la terrasse, nous migrons vers la chambre à coucher. Le vicelard d'en face en a assez vu. En moins de temps qu'il faut pour l'écrire, nous finissons de nous effeuiller et nous nous retrouvons, à poil tous les trois sur le lit. Jean en sandwich.
Je brûle d'envie d'embrasser Agnès. Nos regards se croisent et je comprends que nous sommes au diapason toutes les deux.
Nos deux visages se rapprochent et sous le regard médusé de Jean, j'embrasse mon amie d'un interminable baiser. Nos langues se croisent et se décroisent, nos salives ne font qu'une. Jean mendie et veut participer à la distribution. C'est la bouche remplie de nos salives que j'embrasse mon chéri, le gavant de la bave de ses deux salopes.
Pendant ce temps, Agnès est descendue à la « cave » et commence à tripoter le sexe de mon mari déjà dur et légèrement humidifié bycasino güncel giris de liquide séminal. Prêt aux tirs.
Ce petit salaud ronronne comme un chat. Ça tombe bien, deux chattes l'attendent.
Agnès, en manque, elle aussi, s'affaire à pomper ce sexe de belle taille, et elle commence à mouiller de désir.
De mon côté, pendant nos embrassades, Jean me tripote le minou et je suis dans le même état que ma comparse, trempe.
Intriguée, curieuse, impatiente, jalouse peut-être un peu, j'ai hâte de voir mon mec enfourcher ma meilleure amie et la faire jouir.
Allongé sur le dos, la bite au beau fixe, il voit Agnès, la moule en feu, venir se planter sur son mât. Elle laisse coulisser ce pénis en rut doucement mais sûrement au fond de son vagin, puis remonte tout aussi doucement.
Pour assister à ce show je me déplace au pied du lit et j'ai une vue imprenable sur les fesses, le petit trou et l'arrière de la chatte d'Agnès. Le spectacle est torride. En regardant la queue de mon mari entrer, puis sortir, puis entrer à nouveau dans la foufoune de ma meilleure amie, je mouille comme une vraie salope. J'ai l'impression de rêver. Cette scène me paraît irréelle. Il y a quelques semaines, on m'aurait parlé d'un tel anniversaire, je n'y aurai pas cru une seule seconde.
Pendant que les mains de Jean caressent les seins et la croupe d'Agnès et que le va-et-vient s'accélère entre les deux amants, moi, je mate, les yeux grands ouverts, me masturbe comme une folle et titille mon petit clown à en perdre haleine.
J'ai envie de participer au festin, mais je ne sais pas quoi faire. Alors je me hasarde à glisser une main dans l'entrejambe d'Agnès, et de promener mes doigts de sa vulve à son sphincter. Bien humidifiés par sa mouille, mes doigts remontent vers son cul, dans lequel j'introduits délicatement mon index. Un petit sursaut de surprise, une légère contraction, puis une décontraction totale, me permets de pousser plus loin mon exploration. Elle remue sa croupe de plaisir, de de désir, sa manière à elle de me dire : oui, encore.
Mon Jean que je croyais sénile, asexué, me surprend, me stupéfait. Ce mari si pâle depuis longtemps interprète parfaitement son rôle. Il baise mon amie avec l'art et la manière.
Agnès tortille son popotin, sa mouille suinte de partout, sa respiration s'accélère, elle va jouir la salope, et mon salaud de Jean aussi.... Je veux, moi aussi prendre mon pied en même temps, et pour ce faire je tripote mon clitoris de plus en plus vite. Nous sommes tous les trois au point de non-retour, de l'extase, de l'orgasme, de l'épanouissement.
Nos regards se croisent, nos trois corps agglutinés l'un à l'autre se contractent, puis dans un hahahaha!!! unanime toute cette énergie concentrée en nous se libère. Notre triple jouissance est magistrale, c'est l'explosion d'une bombe, d'une triple bombe.
Jean s'est vidé dans la chatte d'Agnès qui a jouit dans un grand râle et moi femme-fontaine j'ai trempé la literie.
Nos corps s'effondrent, repus, vidés, assouvis, ou presque. Trois êtres amorphes gisent sur le lit, sans vie. Mais.... Car il y a un mais....
Je vais m'offrir une gâterie suprême, manger la foufoune d'Agnès. Me délecter de ce mélange de cyprine et de sperme que lui a inoculer mon homme.
Comme un fauve je me jette sur l'entrejambe de mon amie, et avant qu'elle ait le temps de réagir, je suis en train de lui lécher la moule, lui sucer la chatte. Ma langue passe partout, je me plais à aspirer son clitoris entre mes lèvres, m'introduire le plus profond possible dans sa vulve pour me désaltérer, boire la dernière goutte de ce nectar, cette gelée royale.
Agnès, en amie généreuse, continue de mouiller ce qui n'est pas pour me déplaire.
Jean, immobile, les yeux grands ouverts, admire le spectacle, surpris par la bisexualité des deux femmes, et espère qu'il ne devra pas attendre 365 jours pour remettre le couvert à ces ripailles sexuelles.
Bon anniversaire Jean, meilleurs v?ux!!!
A suivre...