Un dimanche à la neige

Un dimanche à la neigeParfois c'est madame qui écrit, parfois c'est monsieur. Cette fois c'est monsieur.Et pour commencer, je vous souhaite un merveilleux réveillon 2016-2017 à tous et toutes.Je vais vous raconter un formidable dimanche où nous étions partis dans l'est du pays, plus exactement du côté de Bütgenbach, pour une balade pédestre dans la neige.C'était un dimanche super ensoleillé, la neige était tombée quelques jours auparavant et un manteau blanc recouvrait la région des Fagnes.Plutôt que de rester chez nous à végéter, nous avons décidé de prendre un bol d'air sain.Vers les 13h00, vêtus pour affronter le grand froid et munis d'une bouteille thermos contenant du chocolat chaud, nous avons pris le départ vers les plaines enneigées. Arrivés près d'un lac nous nous sommes stationnés et c'est plein d'enthousiasme que nous avons emprunté les petits chemins à travers les bois. Très vite la promenade s'est transformée en jeu, nous nous lancions des boules de neige et nous roulions dans la poudreuse.Après une bonne heure de marche, un peu frigorifiés, un arrêt "boisson chaude" s'imposait. Un petit banc nous invitait à prendre place et je me suis saisi du sac à dos contenant quelques gaufres et le chocolat chaud. Ma chérie était véritablement congelée, cette pause allait lui faire grand bien. J'ai sorti les gaufres, les gobelets et la bouteille thermos. Mais au moment de servir ... désillusion !!! La bouteille thermos s'était cassée (probablement lors de nos joutes dans la neige) et impossible de se réchauffer avec la boisson préparée.Elle commença à me dire que c'était de ma faute, que j'aurais dû mieux la protéger (la bouteille thermos), ...Ne tenant pas à une dispute, et comprenant que le froid la rendait nerveuse, j'ai proposé que nous rebroussions chemin et cherchions un bistrot où aller nous désaltérer. Malheureusement nous avions marché sans prendre attention et plus moyen de retrouver le parcours que nous avions fait. D'autres marcheurs étaient passés et il était inutile de songer à suivre nos pas.Durant plus d'une heure nous avons sillonné divers chemins, croyant souvent être sur le bon, mais non. Nous étions véritablement égarés !Seuls au milieu des Fagnes, sans réseau téléphonique, j'avoue que moi aussi j'ai commencé à paniquer. Plus nous marchions et plus ma chérie se fâchait sur moi et güvenilir bahis mon manque d'organisation. Je devenais également de plus en plus irrité, primo parce-que je paniquais, secundo parce-que ce n'était quand-même pas de ma seule responsabilité si la bouteille était bousillée.C'est alors que j'ai vu une fermette située à quelques dizaines de mètres de nous. Il fallait passer à travers une clôture et franchir un champ pour y accéder. En passant la clôture ma chérie s'est accrochée et un accroc s'est fait à sa doudoune, encore une raison d'augmenter sa mauvaise humeur. Mais nous y sommes arrivés et j'ai frappé à la porte.Une femme âgée d'une cinquantaine est venue ouvrir et je lui ai expliqué notre mésaventure. Elle nous a invité à entrer, nous proposant de nous réchauffer. Nous nous sommes installés au salon près d'un feu de bois qui crépitait et diffusait une douce chaleur. Tandis que le café s'écoulait et que nous bavardions, son mari est revenu. Il nous a salué et s'est enquis de nos malheurs. Gentiment il s'est dit disposé à nous véhiculer jusqu'à notre voiture, je lui ai décrit l'endroit et il le situait très bien.- " Mais d'abord réchauffez-vous, madame est toute tremblante " a-t-il dit.C'est vrai que ma chérie n'arrivait pas à reprendre vigueur, elle tremblotait et restait muette.- " Ce qu'il lui faut c'est une douche chaude " dit la dame, " venez mademoiselle, je vais vous conduire à la salle d'eau ".J'ai pensé qu'elle allait refuser, prendre une douche chez des inconnus me semblait bizarre. Mais contrairement à mon idée elle accepta et elles partirent toutes deux.Resté seul avec l'homme nous avons discuté de tout et de rien. Enfin, pas vraiment de rien. Il dirigea assez vite la conversation sur ma femme, d'abord sur sa difficulté à se réchauffer, ensuite sur sa beauté. Elle ressemblait à sa première femme dit-il, mais peut-être encore plus mignonne. Bla bla bla, bla bla bla, le gars se remémorait sa jeunesse et m'en faisait profiter (ce dont je me fichais royalement).Un quart d'heure plus tard ma chérie est venue nous rejoindre au salon, elle portait un peignoir que la dame lui avait prêté.Ce n'était pas un banal peignoir molletonné, mais un en satin fleuri et relativement court. Un bref instant je me suis imaginé la maîtresse des lieu le portant, vu son âge j'ai ri intérieurement.Mais türkçe bahis l'homme, lui, n'avait pas envie de sourire, il était comme paralysé à la vue de ma chérie si peu vêtue. Le peignoir lui arrivait mi-cuisses et encore plus haut lorsqu'elle s'assit dans le fauteuil. Elle but le café que la dame lui servit et commença à se détendre. Enfin sa bonne humeur était revenue, j'étais content. Mais je ne m'attendais pas à ce qui allait suivre !Revenant sur le sujet dont il m'abreuvait depuis un certain temps, l'homme expliqua à sa femme qu'il trouvait que la mienne ressemblait à sa première épouse. Elle paraissait l'avoir connue et acquiesça en entrant même dans des détails:- " Peut-être plus mince, les cheveux plus clairs, plus grande également ", " et mademoiselle a plus de poitrine, j'en suis certaine ". Là nous apprîmes qu'elle connaissait parfaitement l'ancienne épouse de l'homme car elles avaient été ensemble à l'école.- " Comment peux-tu dire que mademoiselle a plus de poitrine, tu n'en sais même rien " dit l'homme.- " Mais si, j'ai vu mademoiselle nue dans la salle d'eau lorsque je lui ai porté le peignoir ", " et je t'assure qu'elle est bien plus jolie que Françoise (l'ex de l'homme) ".Ils parlaient entre eux comme si nous n'étions pas là, comparant le physique de ma chérie à l'ex de l'homme.Et tout y passa, du visage aux jambes en passant par la poitrine !- " Je dis ça, mais je n'ai pas eu le bonheur comme toi de voir mademoiselle nue " dit l'homme.En disant cela il porta un regard lourd de sens sur ma femme. Elle et moi nous regardions, étonnés de cette conversation et des propose tenus. Mais il en faut plus pour nous choquer, vous commencer à nous connaître.Une idée, ou plutôt un désir, me vint. Mais allais-je oser ? Leurs propos étaient coquins, mais peut-être n'était-ce que leur manière de parler ?J'ai regarder ma chérie et elle me souriait, elle avait lu sur mon visage ce qui me traversait l'esprit.Elle s'est levée et a ouvert le peignoir en s'exprimant ainsi:- " Monsieur pourra ainsi en avoir le coeur net et ne jalousera pas sa femme ".Waou ! Ma chérie dévoilait son anatomie sans aucune pudeur devant ce couple de quinquagénaires !!L'homme en resta pantois, je ne sais pas si c'est ce qu'il souhaitait mais il restait bouche bée.Mon regard passait de lui à sa femme, autant lui restait güvenilir bahis siteleri coi, autant elle semblait s'en amuser.Et à mon grand étonnement ce fut la dame qui se leva et vint rejoindre ma coquine. Elle se plaça derrière ma chérie et déposa ses mains sur sa taille en disant à son mari: "Tu vois, elle est plus mince que Françoise". Et joignant le geste à la parole elle remonta et pris les seins entre ses mains en ajoutant: "Et sa poitrine est d'une taille supérieure".J'en restait baba, la mémé pelotait ma coquine devant son mari et moi sans aucune gêne.Il admit que oui, mais lui aussi ne bougeait pas. Nous étions 2 mecs en admiration de ce qui se passait.Et la femme n'en resta pas là, ses doigts s'emparèrent des tétons et elle les pinça et les étira. Ma chérie pointait, cela voulait donc dire qu'elle était excitée.Une de ses mains descendit, descendit, jusqu'à l'abricot de ma coquine qui écarta quelque peu les jambes. Elle en souleva même une et en déposa le pied sur le bras du fauteuil.C'était grandiose, l'homme et moi assis en train de mater la mémé qui jouait avec le bouton de ma coquine. Et elle ne s'arrêta pas là. Venant devant ma chérie, elle l'enlaça et l'embrassa à pleine bouche.Putain !!! Je bandais comme un âne ! Et je n'étais pas le seul car l'homme avait une main à hauteur de son sexe et semblait se caresser.La femme se décolla un peu de la mienne et, en me regardant, me dit: "vous permettez que mon mari nous rejoigne ?".Que répondre ? Non ? Mais bien sûr que j'étais d'accord, d'ailleurs je ne souhaitais que ça depuis 5 minutes !J'avais à peine répondu que l'homme avait rejoint le couple formé par nos femmes et entreprit les premières caresses.Incroyable comme une banale journée à la neige peut se transformer en partie de plaisirs sexuels !Tous 3 furent vite nus et allongés sur le tapis recouvrant le sol. Ma chérie n'avait plus froid apparemment, bien au contraire.Ils s'embrassaient, se léchaient avidement. Ma coquine suçait l'homme pendant que sa femme lui prodiguait une minette d'enfer.Elle fut baisée, sodomisée, jamais abandonnée par la mémé qui s'est régalée de sa cyprine. A un moment donné la femme m'a demandé de les rejoindre, mais j'ai décliné l'invitation. Elle (avec tout le respect que je lui dois) ne correspondait pas du tout à mes critères féminins, trop âgée et trop forte.2 heures plus tard l'homme nous a ramenés à notre véhicule et nous avons repris la route vers chez nous.Un bien bel après-midi auquel nous ne nous attendions vraiment pas, comme de quoi le hasard fait parfois très bien les choses.